Les vaccins antigrippaux triplent le taux d'hospitalisation
chez les enfants, sans que cela ne
semble préoccuper nos autorités.
Le thimérosal à base de
mercure est utilisé comme conservateur pour « tuer des organismes ». En
qualité d’Humains ne sommes nous-pas des organismes ?
La plupart des vaccins
antigrippaux contiennent 25 microgrammes de mercure, une quantité considérée
comme n'étant pas sûre selon l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA)
pour toute personne de moins de 250 kg !
A présent, prenez les deux
doses de vaccin antigrippal recommandées et ça vous fait déjà 50 microgrammes
de mercure toxique.
Avez-vous déjà rencontré des
femmes enceintes ou des bébés de 500
kg ? (2X 250
kg puisque 2X le seuil toxique).
L'argent de Big Pharma* pèse
apparemment plus lourd que des bébés morts.
L'Institut de Médecine
déconseille l'administration de vaccins contenant du mercure aux femmes
enceintes, aux nourrissons et aux enfants en raison des effets dommageables et
largement établis du thiomersal sur le système immunitaire, le métabolisme et
le système nerveux.
Mais ce n'est pas ce qu'a
raconté au Centre de Contrôle des Maladies (CDC) l'expert embauché par les
pharmas, le Dr Jay Lieberman.
Lieberman est consultant pour Merck, GSK et
Sanofi Pasteur et fait partie du panel de conférenciers de ces trois fabricants
de vaccins.
Toutes ces firmes
pharmaceutiques utilisent du thiomersal pour la fabrication de leurs vaccins et
Lieberman a fait une présentation au Centre de Contrôle des Maladies (CDC) qui
ignorait l'amas d'études revues par les pairs, en se basant à la place sur un
petit nombre d'études financées par l'industrie dont la méthodologie et les
données épidémiologiques biaisées sont hautement contestables et qui ne
relèvent donc sans surprise aucune association entre mercure et des dommages
quelconques.
Dès le 7 juillet 1999, l'Académie Américaine
de Pédiatrie (AAP) et le Département d'Etat de la Santé Publique publiaient un
communiqué conjoint appelant « au retrait du thiomersal des vaccins le
plus tôt possible en raison des effets neuro-développementaux possibles après
exposition au thiomersal ».
Cela n'a toujours pas été fait
à ce jour.
Les niveaux de mercure ont été
réduits dans certains vaccins infantiles mais selon le Dr Boyd Haley, de
l'Université du Kentucky, le mercure est toujours bien présent dans tous les
vaccins pédiatriques.
Même un extrait d'un « Questions-Réponses »
qui se trouvait sur le site du Centre de Contrôle des Maladies en 1999,
stipulait :
« Q : Qui est le plus vulnérable au mercure ? R: Deux groupes sont le plus vulnérables au méthyl mercure : le fœtus et les enfants de moins de 14 ans ».
Bien sûr, cette déclaration
contradictoire et fort embarrassante a depuis longtemps été retirée du site du
CDC mais peut facilement être retrouvée via d'autres sites internet comme
celui-ci :
Les enfants qui reçoivent le
vaccin contre la grippe ont trois fois plus de risques d'être hospitalisés à
cause de la grippe.
Dans une étude destinée à
déterminer si les vaccins antigrippaux réduisent les hospitalisations chez tous
les enfants, des enfants âgés de 6 mois à 18 ans furent suivis à la clinique
Mayo du Minnesota et chacun d'entre eux était atteint d'une infection au virus
de l'influenza préalablement confirmée par un test de laboratoire.
Il a été démontré que les enfants vaccinés avaient 3 fois plus de
risques d'être hospitalisés comparativement aux enfants non vaccinés, avec
un risque significativement accru d'hospitalisation pour les enfants
asthmatiques vaccinés .
Les enfants qui reçoivent le
vaccin antigrippal encourent donc plus de risques d'être hospitalisés que ceux
qui n'ont pas reçu ce vaccin, selon l'étude présentée au 105ème Congrès de la
Société américaine de Médecine Thoracique, à San Diego.
Devriez-vous recevoir le
vaccin antigrippal ou non ?
Si vous aviez reçu une
vaccination antigrippale saisonnière à l'automne 2009, vous encouriez alors
déjà deux fois plus de risques de contracter la grippe A H1N1, selon une large
étude canadienne.
Le vaccin Pandemrix a provoqué un risque 17 fois plus grand
de narcolepsie parmi les enfants vaccinés contre la grippe selon une étude et,
selon le Dr Hugh Fudenberg et ses collègues, il apparaît que les gens de 55 ans et plus qui ont été
vaccinés 5 années de suite contre la grippe ont un risque de maladie
d'Alzheimer multiplié par 10.
Une autre étude, publiée dans
le Lancet, avait rapporté que les vaccins antigrippaux n'avaient aucun effet
protecteur chez 98,5% des adultes mais qu'ils causaient des troubles neurologiques
chez 7,5% des personnes vaccinées.
Il n'existe aucune preuve que
les vaccins contre la grippe diminuent l'incidence de cette maladie mais il y a
en revanche des preuves qu'ils génèrent des effets secondaires et qu'ils
causent du tort. Mais le choix reste toujours le vôtre au final. Tâchez de le
faire de façon éclairée!
11 octobre 2012, Natural News,
par Craig Stellpflug.
Et pourtant, on continue de
dépenser de l’argent en campagne anti-grippale, et en remboursements…
"Big Pharma" : c’est une quinzaine de firmes pharmaceutiques qui contrôlent les deux tiers d’un marché mondial d’environ 900 milliards de dollars. Depuis trente ans, et notamment ces dix dernières années, les médicaments qu’elles fabriquent et commercialisent ne soignent pas mieux que leurs prédécesseurs, voire, pire, présentent d’éventuels risques pour la santé publique !
Aller plus loin :
Advanced Registered Nurse Practitioner Care Volume 10, Number 7 Official
Neswletter of ARNPs United
Article original (en anglais): NaturalNews
Photo : Libération
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